ENTRE CHIENS ET LOUPS
Théâtre du Centaure
ENTRE CHIENS ET LOUPS
Théâtre du Centaure

DU 8 AU 19 JUILLET
Relâche le 14 juillet
20h
Durée :
1h
Tout public
8 > 20 €
Verger –
Plein air
DU 8 AU 19 JUILLET
20h
Relâche le 14 juillet
Tout public
8 > 20 €
Verger
Plein air
Chorégraphie : Camille et Manolo
Composition musicale : Agathe Di Piro, Walid Ben Selim
Jeu : Camille, Manolo
Piano : Agathe Di Piro
Chant : Walid Ben Selim
Univers sonore : Martin Dutasta
Costumes : Clarisse Guichard
Régie générale et son : Philippe Boinon
Assistante de scène : Romance Nicoletti
Scène nationale Théâtre Molière, Sète / Scène nationale Le Théâtre, Saint-Nazaire / PNC-BIAC ARCHAOS, Marseille / Scène conventionnée Château Rouge, Annemasse / Communauté d’agglomération Mont Saint-Michel Normandie
CENTQUATRE#104, Paris /Scène nationale Le Quartz, Brest
AIDE NATIONALE À LA CRÉATION POUR LES ARTS DU CIRQUE 2024, Ministère de la Culture DGCA Direction Régionale des Affaires Culturelles Provence-Alpes-Côte d’Azur, Fonds SACD Musique de scène, La Copie Privée / Département des Bouches-du-Rhône / Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur
Ville de Marseille et DRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur

L'HISTOIRE
Entre chiens et loups est un poème dansé entre le jour et la nuit, entre le domestique et le sauvage, entre l’animal et l’humain. Au plateau une pianiste, un piano à queue, deux centaures composés d’une femme, un homme et quatre chevaux noirs et un chant qui s’élève Depuis cette lisière entre les mondes, la danse explore les relations entre les êtres : entre différentes espèces, entre un homme et une femme, entre un frère et une sœur, entre un parent et un enfant, entre soi et soi-même. C’est une chronique des relations complexes qui nous unissent, une recherche des ponts invisibles qui nous relient. Face à un monde disloqué, les centaures tentent de faire corps, de faire meute, de faire communauté. Cette quête va au-delà des mots, seule la musique peut donner le souffle fragile de ce dialogue avec le vivant.
TEASER
PRESSE
« La singularité du Théâtre du Centaure n’est plus à prouver. Il affirme une fois de plus la pertinence de son utopie : un acteur centaure mi-homme, mi-animal. Face à la barbarie du réel, la beauté sauvage des centaures trouve une exceptionnelle force d’impact. »
Télérama