HABITER N'EST PAS DORMIR
Cie Volubilis
HABITER N'EST PAS DORMIR
Cie Volubilis
DU 8 AU 20 JUILLET
Relâche le 14 juillet
21h30
Durée :
1 h
À partir de
8 ans
8 > 19 €
École Montolivet –
Centre-ville
DU 8 AU 20 JUILLET
21h30
Relâche le 14 juillet
À partir de 8 ans
8 > 19 €
École Montolivet
Centre-ville
Conception, chorégraphie : Agnès Pelletier
Conception, architecture : Chloé Bodart
Assistante dramaturgie : Mia Fradin
Agitateurs de conscience : Sonia Lavadinho, Pascal le Brun Cordier, Pascal Servera, Stéphane Jouan et Sylvie Violan
Danseurs interprètes : Christian Lanes, Vincent Curdy, Lisa Guerrero (ou Yendi Nammour), Raphael Dupin, Laurent Falguiéras, Agnès Pelletier, Matthieu Sinault
Création bande son : Yann Servoz
Construction de la maison et du mobilier : Julien Lett assisté de Michel Munier
Costumes : Catherine Sardi et Tezzer
Régisseurs : Guénael Grignon et Paul Courilleau
Scène Nationale Carré-Colonnes/St Médars-Blanquefort, FAB/ Festival des Arts de Bordeaux, Scène Nationale 61/Alençon, Théâ
DRAC Nouvelle Aquitaine, Région Nouvelle Aquitaine, ville de Niort, Département des Deux-Sèvres
L'HISTOIRE
Une maison à ciel ouvert, sans toit, ni cloison et à l’intérieur…Le quotidien de celles et ceux qui y habitent. Seuls ou ensembles, Ils ou elles vont vivre à vue leurs rituels de tous les jours occupant tantôt la salle de bain, ou bien la cuisine en étant tous réunis autour de la table. Au fur et à mesure de la soirée, la maison va se mettre en mouvement, la danse va s’inviter par touches poétiques, absurdes, drolatiques et va s’immiscer dans ce quotidien répété puis déréglé laissant place à un certain désordre… Entre rêve et réalité, une maison éclairée, c’est une maison qui regarde dehors et qui dévoile ses secrets…
TEASER
PRESSE
“Oser habiter le monde de manière inattendue… Tel pourrait être le généreux message délivré de manière subliminale par ces sept complices animés par le plaisir palpable de jouer l’existence ordinaire. En déjouant ce qu’elle peut avoir de terne, la Cie Volubilis lui redonne de la couleur. L’espace public s’en trouve soudain illuminé, entrouvrant les portes d’un rêve éveillé propre à réenchanter le quotidien…”
Yves Kafka, La revue du spectacle.fr, 30 octobre 2023